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Décembre
Tombe la pluie, sèche le vent
Tombe la vie, pleure le temps
Coulent les larmes, gèle l'aurore
Passent les drames, la mort encore.
Décembre a fermé
Le ciel et toutes les fenêtres
Décembre a glacé
Les Arbres la Terre et les Etres.
Cingle la pluie, siffle le vent
Neige rougie, sang cesse le "sans"
Meurent les pleurs, figés de glace
Neige de fleur qui ne trépasse ?
Décembre si sombre
Si lourd si lent, si malhonnête
Décembre son ombre
Qui la nuit valse dans ma tête.
Triste, est-ce le froid
De la saison ou bien encore
Les fantômes rois
De mon esprit qui me dévorent...
Des astres annoncés
Ne reste plus une lueur
Lumière broyée
Par trop de doutes, par trop de peurs...
Oh ! Mourir un soir d'hiver,
Cristal blanchi de givre
Mort, l'alcool espère
Tu es l'envie de vivre
Froide heure marbrée de blanc
Exsangue, exhale ta
Douceur cloutée de sang-
Sation de n'être pas ...de n'être pas ...de n'être rien.
Hurler la peine, perdue au grand
Jamais ma reine, je ne comprends
Les sentiments à peine éclos
Meurent pourtant, meurent trop tôt.
L'air, froid et méchant
Comme une lame, comme la peste
Bloque en un instant
Les mots qui disaient "reviens, reste"
Restent des espoirs
De voir un jour décembre partir
A nouveau pouvoir
Sentir ton souffle, ne plus mourir... mais
Reste, désespoir
Tu es mon seul compagnon d'armes
Fidèle miroir
Brisé d'un coup, comme le charme...
Oh ! Mourir un soir d'hiver
Cristal blanchi de givre
Mort, l'alcool espère
Tu es l'envie de vivre
Froide heure marbrée de blanc
Exsangue, exhale ta
Douceur cloutée de sang-
Sation de n'être pas... de n'être pas... de n'être rien.
Oh ! Décembre, paré de glace - Assassin tu as, tu es
Bien trop lâche, vois-moi en face - Aspire donc mon être entier
Oh ! Décembre, sonne le gla - Cial regret ciel déchiré-
Animant l'ombre qui bla - Sphème même encore aimée...
Frantz, décembre 1995.
Tombe la pluie, sèche le vent
Tombe la vie, pleure le temps
Coulent les larmes, gèle l'aurore
Passent les drames, la mort encore.
Décembre a fermé
Le ciel et toutes les fenêtres
Décembre a glacé
Les Arbres la Terre et les Etres.
Cingle la pluie, siffle le vent
Neige rougie, sang cesse le "sans"
Meurent les pleurs, figés de glace
Neige de fleur qui ne trépasse ?
Décembre si sombre
Si lourd si lent, si malhonnête
Décembre son ombre
Qui la nuit valse dans ma tête.
Triste, est-ce le froid
De la saison ou bien encore
Les fantômes rois
De mon esprit qui me dévorent...
Des astres annoncés
Ne reste plus une lueur
Lumière broyée
Par trop de doutes, par trop de peurs...
Oh ! Mourir un soir d'hiver,
Cristal blanchi de givre
Mort, l'alcool espère
Tu es l'envie de vivre
Froide heure marbrée de blanc
Exsangue, exhale ta
Douceur cloutée de sang-
Sation de n'être pas ...de n'être pas ...de n'être rien.
Hurler la peine, perdue au grand
Jamais ma reine, je ne comprends
Les sentiments à peine éclos
Meurent pourtant, meurent trop tôt.
L'air, froid et méchant
Comme une lame, comme la peste
Bloque en un instant
Les mots qui disaient "reviens, reste"
Restent des espoirs
De voir un jour décembre partir
A nouveau pouvoir
Sentir ton souffle, ne plus mourir... mais
Reste, désespoir
Tu es mon seul compagnon d'armes
Fidèle miroir
Brisé d'un coup, comme le charme...
Oh ! Mourir un soir d'hiver
Cristal blanchi de givre
Mort, l'alcool espère
Tu es l'envie de vivre
Froide heure marbrée de blanc
Exsangue, exhale ta
Douceur cloutée de sang-
Sation de n'être pas... de n'être pas... de n'être rien.
Oh ! Décembre, paré de glace - Assassin tu as, tu es
Bien trop lâche, vois-moi en face - Aspire donc mon être entier
Oh ! Décembre, sonne le gla - Cial regret ciel déchiré-
Animant l'ombre qui bla - Sphème même encore aimée...
Frantz, décembre 1995.
Literature
A qui dire ...
A qui dire les mots qui submergent
des mots sans fond, sans bord
des mots tout en silence
des mots sans tabou
acérés comme des couperets
lames de rasoirs
au fil du désespoir
A qui dire ces mots
sinon à Toi
feuille blanche de pureté
vierge, sans préjugé
Je te noircis, et
tu ne réponds pas
tu bois mes larmes...
Je t'en sais gré.
Literature
Music in my soul
It's the music I now understand
Ignore it's message I now can't
I hear the music of the song
My mind hearing it along
The song begins, sounds play
The words in my mind still stay
Listen closely, listen good
The words finally understood
They come around, grab my soul
The words have reached their goal
My mind is depressed, I feel down
Upon my face an eternal frown
The sounds play with my heart
My moods always far apart
Sad now, happy a moment later
Both of each other the greater
Enjoy the music for the sound
It will make you jump around
Enjoy the music for the words
It's you soul it girds.
Literature
if you listen you can hear it
I believe that there is something more tender than
even the rain, as its bloated tendrils
corrupt the soil and draw things forth
(be still and look at the lilies, lilies)
and more brilliant than muttered oaths, than
slimy fingers searching twistingly
for salvation (like blind worms)
in the folds of another stranger's skirt
and every insect that has probing ears
can listen for the silent,
insane screaming
(I love you)
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chanson ici / song here : [link]
If one of my english language friend wants a translation, note me, I'll try
Une chanson de jeunesse, qui sonnait pas mal à l'époque... Une valse en trois temps, piano-chant ; rehaussée de quelques nappes de violons et choeurs. J'ai gardé le texte d'origine, bien qu'à cette époque le jeu de mots était une (trop) grande marque de fabrique.
A song of youth, that sounded a lot at the time ... A three-step waltz, piano-song; enhanced with some layers of violins and choirs.
If one of my english language friend wants a translation, note me, I'll try
Une chanson de jeunesse, qui sonnait pas mal à l'époque... Une valse en trois temps, piano-chant ; rehaussée de quelques nappes de violons et choeurs. J'ai gardé le texte d'origine, bien qu'à cette époque le jeu de mots était une (trop) grande marque de fabrique.
A song of youth, that sounded a lot at the time ... A three-step waltz, piano-song; enhanced with some layers of violins and choirs.
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Tease. I'll set a goal to translate it myself, sir.